Entre espoir et mobilisations

Les activités de la Maison d’Haïti vont bon train, sans jamais perdre de vue sa mission d’éducation et de mobilisation, elle continue d’œuvrer vers l’égalité des chances de toutes et tous les membres de la communauté avec une gamme de programmes et d’activités. Les éducateurs conçoivent de nouvelles méthodes et de nouveaux outils pédagogiques pour l’alphabétisation et l’éducation permanente des adultes. Le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) lance de nouveaux programmes de formation professionnelle pour répondre aux besoins spécifiques des femmes haïtiennes en contexte québécois. L’École du samedi et le Carrefour des jeunes assurent le renforcement identitaire et la transmission culturelle.

L’institution fête en grande pompe ses 15 ans d’implication au sein de la communauté haïtienne et de la société québécoise avec une riche série d’activités, dont le lancement de Bagay ti moun, enregistrement de chansons haïtiennes interprétées par des enfants. L’exclusion sociale et la marginalisation vécue par les jeunes noirs à Montréal se haussent au premier plan avec des événements tragiques de l’assassinat par des policiers du jeune Anthony Griffin et les émeutes de la rue Saint-Hubert suite à une intervention musclée des forces de l’ordre. Une vaste concertation se met en branle. Ceci donnera naissance à la Coalition des associations de la communauté noire de Montréal composée du Bureau de la communauté chrétienne de Montréal (BCCHM), Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales (CHAIS), Centre Haïtien d’action familiale (CHAF), Centre haïtien de regroupement et d’intégration à la société canadienne et québécoise (CHRISOCQ), Maison des Jeunes Louverture, Maison d’Haïti, le Negro Community Center (NCC) et le Black Community Council of Quebec (BCCQ) et le Conseil National des Jamaïcains du Canada.  La Table de Concertation sur la délinquance des jeunes haïtiens avec le Services d’Aide aux Néo-Québécois et Immigrants (SANQI), Associations Jeunes Louverture voit le jour un an plus tard, suivi du Bureau d’appui à la jeunesse québécoise d’origine haïtienne (BAJQOH). 

 

Pendant ce temps en Haïti le pays verra la fin de la dictature héréditaire des Duvalier, suivie par une série de coup d’états militaires et finalement par une élection historique marquant la première expérience de suffrage universel réel du pays. Pendant qu’elle maintient son action auprès des communautés haïtiennes du Québec, la Maison d’Haïti, pour citer le rapport d’activités 1985-1986, « participe pleinement au travail de conscientisation pour la participation de la communauté à la reconstruction d’Haïti ».

Entre espoir et mobilisations

Les activités de la Maison d’Haïti vont bon train, sans jamais perdre de vue sa mission d’éducation et de mobilisation, elle continue d’œuvrer vers l’égalité des chances de toutes et tous les membres de la communauté avec une gamme de programmes et d’activités. Les éducateurs conçoivent de nouvelles méthodes et de nouveaux outils pédagogiques pour l’alphabétisation et l’éducation permanente des adultes. Le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) lance de nouveaux programmes de formation professionnelle pour répondre aux besoins spécifiques des femmes haïtiennes en contexte québécois. L’École du samedi et le Carrefour des jeunes assurent le renforcement identitaire et la transmission culturelle... Plus d' informations +

L’institution fête en grande pompe ses 15 ans d’implication au sein de la communauté haïtienne et de la société québécoise avec une riche série d’activités, dont le lancement de Bagay ti moun, enregistrement de chansons haïtiennes interprétées par des enfants. L’exclusion sociale et la marginalisation vécue par les jeunes noirs à Montréal se haussent au premier plan avec des événements tragiques de l’assassinat par des policiers du jeune Anthony Griffin et les émeutes de la rue Saint-Hubert suite à une intervention musclée des forces de l’ordre. Une vaste concertation se met en branle. Ceci donnera naissance à la Coalition des associations de la communauté noire de Montréal composée du Bureau de la communauté chrétienne de Montréal (BCCHM), Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales (CHAIS), Centre Haïtien d’action familiale (CHAF), Centre haïtien de regroupement et d’intégration à la société canadienne et québécoise (CHRISOCQ), Maison des Jeunes Louverture, Maison d’Haïti, le Negro Community Center (NCC) et le Black Community Council of Quebec (BCCQ) et le Conseil National des Jamaïcains du Canada.  La Table de Concertation sur la délinquance des jeunes haïtiens avec le Services d’Aide aux Néo-Québécois et Immigrants (SANQI), Associations Jeunes Louverture voit le jour un an plus tard, suivi du Bureau d’appui à la jeunesse québécoise d’origine haïtienne (BAJQOH). 

 

Pendant ce temps en Haïti le pays verra la fin de la dictature héréditaire des Duvalier, suivie par une série de coup d’états militaires et finalement par une élection historique marquant la première expérience de suffrage universel réel du pays. Pendant qu’elle maintient son action auprès des communautés haïtiennes du Québec, la Maison d’Haïti, pour citer le rapport d’activités 1985-1986, « participe pleinement au travail de conscientisation pour la participation de la communauté à la reconstruction d’Haïti ».

Entre espoir et mobilisations

Les activités de la Maison d’Haïti vont bon train, sans jamais perdre de vue sa mission d’éducation et de mobilisation, elle continue d’œuvrer vers l’égalité des chances de toutes et tous les membres de la communauté avec une gamme de programmes et d’activités. Les éducateurs conçoivent de nouvelles méthodes et de nouveaux outils pédagogiques pour l’alphabétisation et l’éducation permanente des adultes. Le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) lance de nouveaux programmes de formation professionnelle pour répondre aux besoins spécifiques des femmes haïtiennes en contexte québécois. L’École du samedi et le Carrefour des jeunes assurent le renforcement identitaire et la transmission culturelle... Plus d' informations +

L’institution fête en grande pompe ses 15 ans d’implication au sein de la communauté haïtienne et de la société québécoise avec une riche série d’activités, dont le lancement de Bagay ti moun, enregistrement de chansons haïtiennes interprétées par des enfants. L’exclusion sociale et la marginalisation vécue par les jeunes noirs à Montréal se haussent au premier plan avec des événements tragiques de l’assassinat par des policiers du jeune Anthony Griffin et les émeutes de la rue Saint-Hubert suite à une intervention musclée des forces de l’ordre. Une vaste concertation se met en branle. Ceci donnera naissance à la Coalition des associations de la communauté noire de Montréal composée du Bureau de la communauté chrétienne de Montréal (BCCHM), Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales (CHAIS), Centre Haïtien d’action familiale (CHAF), Centre haïtien de regroupement et d’intégration à la société canadienne et québécoise (CHRISOCQ), Maison des Jeunes Louverture, Maison d’Haïti, le Negro Community Center (NCC) et le Black Community Council of Quebec (BCCQ) et le Conseil National des Jamaïcains du Canada.  La Table de Concertation sur la délinquance des jeunes haïtiens avec le Services d’Aide aux Néo-Québécois et Immigrants (SANQI), Associations Jeunes Louverture voit le jour un an plus tard, suivi du Bureau d’appui à la jeunesse québécoise d’origine haïtienne (BAJQOH). 

 

Pendant ce temps en Haïti le pays verra la fin de la dictature héréditaire des Duvalier, suivie par une série de coup d’états militaires et finalement par une élection historique marquant la première expérience de suffrage universel réel du pays. Pendant qu’elle maintient son action auprès des communautés haïtiennes du Québec, la Maison d’Haïti, pour citer le rapport d’activités 1985-1986, « participe pleinement au travail de conscientisation pour la participation de la communauté à la reconstruction d’Haïti ».