Résistance et plaidoyer 

Durant les années 1980 la communauté haïtienne au Québec continue de croître et de se diversifier, en grande partie grâce aux programmes de réunification familiale. Après 10 ans d’existence, la Maison d’Haïti reste au pas pour combler les multiples besoins et renforce ses programmes et services. En vue de garantir des conditions de vie dignes et décentes, le travail de plaidoyer est de plus en plus essentiel. Des mémoires sont déposées auprès d’institutions publiques.

La Maison d’Haïti participe à plusieurs conférences sur les droits et l’intégration des personnes immigrantes. Elle est aussi partie prenante de plusieurs mouvements et coalitions pour le droit des réfugiés au Canada et aux États-Unis. La lutte contre le racisme s’intensifie. Les revendications des chauffeurs de taxis haïtiens rallient la communauté et mettent à la une des journaux les enjeux du racisme et de la discrimination au travail. La pandémie du Sida stigmatise les Haïtien.ne.s et met à nu le racisme et les inégalités sociales notamment en santé.   La Maison d’Haïti participe activement à toutes ces mobilisations.

Dans la continuité de son travail contre la triple oppression des femmes noires et immigrantes, le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) est mis sur pied.

En Haïti, après un bref espoir d’ouverture démocratique, la dictature sème encore la terreur et la répression, et la Maison d’Haïti continue d’être présente dans ce mouvement de solidarité internationale dans la diaspora. 

Résistance et plaidoyer 

Durant les années 1980 la communauté haïtienne au Québec continue de croître et de se diversifier, en grande partie grâce aux programmes de réunification familiale. Après 10 ans d’existence, la Maison d’Haïti reste au pas pour combler les multiples besoins et renforce ses programmes et services. En vue de garantir des conditions de vie dignes et décentes, le travail de plaidoyer est de plus en plus essentiel. Des mémoires sont déposées auprès d’institutions publiques.

La Maison d’Haïti participe à plusieurs conférences sur les droits et l’intégration des personnes immigrantes. Elle est aussi partie prenante de plusieurs mouvements et coalitions pour le droit des réfugiés au Canada et aux États-Unis. La lutte contre le racisme s’intensifie. Les revendications des chauffeurs de taxis haïtiens rallient la communauté et mettent à la une des journaux les enjeux du racisme et de la discrimination au travail. La pandémie du Sida stigmatise les Haïtien.ne.s et met à nu le racisme et les inégalités sociales notamment en santé.   La Maison d’Haïti participe activement à toutes ces mobilisations.

Dans la continuité de son travail contre la triple oppression des femmes noires et immigrantes, le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) est mis sur pied.

En Haïti, après un bref espoir d’ouverture démocratique, la dictature sème encore la terreur et la répression, et la Maison d’Haïti continue d’être présente dans ce mouvement de solidarité internationale dans la diaspora. 

Résistance et plaidoyer 

Durant les années 1980 la communauté haïtienne au Québec continue de croître et de se diversifier, en grande partie grâce aux programmes de réunification familiale. Après 10 ans d’existence, la Maison d’Haïti reste au pas pour combler les multiples besoins et renforce ses programmes et services. En vue de garantir des conditions de vie dignes et décentes, le travail de plaidoyer est de plus en plus essentiel. Des mémoires sont déposées auprès d’institutions publiques.

La Maison d’Haïti participe à plusieurs conférences sur les droits et l’intégration des personnes immigrantes. Elle est aussi partie prenante de plusieurs mouvements et coalitions pour le droit des réfugiés au Canada et aux États-Unis. La lutte contre le racisme s’intensifie. Les revendications des chauffeurs de taxis haïtiens rallient la communauté et mettent à la une des journaux les enjeux du racisme et de la discrimination au travail. La pandémie du Sida stigmatise les Haïtien.ne.s et met à nu le racisme et les inégalités sociales notamment en santé.   La Maison d’Haïti participe activement à toutes ces mobilisations.

Dans la continuité de son travail contre la triple oppression des femmes noires et immigrantes, le Centre d’animation pour femmes haïtiennes à Montréal (KAFANM) est mis sur pied.

En Haïti, après un bref espoir d’ouverture démocratique, la dictature sème encore la terreur et la répression, et la Maison d’Haïti continue d’être présente dans ce mouvement de solidarité internationale dans la diaspora.